Peut-être avais tu déjà quelques bonnes notions de navigation aériennes avant le hauturier, dans ce cas, je comprends que ce soit plus facile et que ça aille plus vite.

Perso, je partais de rien, de 11 ans de permis côtier. Et les cartes, à part celles de Michelin, puisque je suis de ceux qui ont plus pratiqué la carte papier que le GPS, ce n'était pas ma tasse de thé
La règle Cras, je découvrais, la règle des 12ème, je découvrais, mais ce n'est pas ça le plus dur, faire un point sur une carte, je découvrais, tracer un cap, je découvrais, bref, je découvrais tout, même la 999 du SHOM.
C'est sûr que déjà, un Breton, va moins chercher ses points repère sur la carte 999 du SHOM, référence nationale pour l'exament du hauturier, n'en déplaise aux Normands, gens du Nord, du Sud Ouest, et de Méditerranée .

Bon, ce n'est pas grave, il faut que je m'y remette, que je me motive, et que je trouve pour ça, un partenaire qui ait envie de le faire aussi pour créer une émulation.
Je pense le refaire en autodidacte, je vais m'y remettre de mi octobre à mi mars, pour repasser cet examen en Mars ou Avril prochain, mais je veux le faire certes sérieusement, mais sans me prendre la tête. Ce qui ne fut pas le cas en 2017, ou en guise de plaisir, ça s'est transformé en cauchemar. (Ttes proportions gardées) .

En discutant avant l'examen avec les 13 candidats ce jour là, quand ils ont su que j'avais préparé l'examen en 5 jours, ils m'ont pris pour quelqu'un d'une autre planète, tous y avaient passé plusieurs semaines, voir l'hiver complet.

Je savais dès le départ que c'était hyper compromis, et sans cette boulette d'effacer le tracé diurne, j'aurais eu le permis, mais avec la plus mauvaise note.

Sur les 13 candidats, 11 l'ont eu, les 2 autres qui ne l'ont pas eu, c'était moi, et un papy d'environ 75 ans qu'était complètement largué, le pauvre.